Inceste d'un grand-père,  Inceste paternel

Témoignage #9

Je suis une femme de 36 ans qui rencontre son prince charmant (qui deviendra mon futur monstre) sur un site de rencontre. Effet « lune de miel »immédiat. (2016)

Le mois suivant j’étais enceinte. On décide de vivre immédiatement ensemble, dans mon appartement. Nous apprenons à nous connaître fur et à mesure mais je ne m’étais pas rendue compte tout suite de ses intentions manipulatrices. ll paraissait très gentil, calme, fort taiseux, poli, et très instruit. Il buvait de l’alcool tous les jours, ce qui m’ agaçait. Un jour, il rentre du travail et il était très saoul. Il m’a jeté les courses sur moi, il m’a insulté, m’a dénigré et a eu des propos racistes par rapport à mes origines italiennes. De peur qu’il puisse me blesser, ainsi que le bébé (étant enceinte de 5 mois) je pars de chez moi et je vais m’installer sur un banc dans une pelouse. Il y avait des épisodes de maltraitance psychologique fréquentes à mon égard. Je me disais « il va changer ». On se connais pas après tout. Je le pardonnais. Petit à petit, ses parents étaient toujours là pour tout décider, pour son fils et l’enfant que je porte. Ils voulaient un droits de parents, ce qui ne leur appartenait pas. Après la venue de mon bébé, ils étaient trop envahissants. C’était disproportionné leurs comportements. D’ailleurs, quand mon fils avait 3 mois et grâce à l’intervention de la sage-femme qui faisait mes soins, elle avait entendu mes plaintes sur lui , dû a son manque de maturité et de responsabilité. Elle m’avait conseillé de voir un psy. Et elle l’avait interpellé  en lui disant de m’aider au quotidien. Ça a causé les premiers grands problèmes, et une première rupture.

Un jugement avait été émis par le juge (2017).

J’allaitais mon bébé, il avait 10 mois. Il venait chez moi 3 fois par semaine, 2 heure sans sortie autorisée, pour voir son fils. Après 3 mois de séparation il veut revenir avec des bonne  intentions, disait-il. Pour le bien du petit j’ai voulu y croire. Il a réussi à me faire couper les liens avec ma famille, et amis, j’étais coupée du monde. ll m’a convaincu qu’il allait changer, mettre un holà à ses parents, faire une thérapie de couple (ce qu’il n’a jamais voulu faire), vendre mon appartement pour acheter une maison ensemble. Il m’a foutue d’un bungalow en location, où j’ai mis toute la caution. Il m’a fait acheter les meubles, avec la vente de mon appartement.

Cette période, j’ai laissé quelques fois chez moi le petit avec ses grands-parents paternels, car j’étais tombée sur du verglas et  je m’étais faite une entorse. Afin de me rendre à l’hôpital, je leur ai laissé le petit âge de 20 mois.

Le lendemain, le petite avec le lange ne voulait pas se laisser faire. Il criait, pleurait et disait ça pique ça pique dans les fesses, et il me tapait avec ses jambes. Impossible de le changer et voir ce qu’il avait, chose qui m’a fort tracassée.

Suite à l’événement, le grand-père me téléphone pour savoir si mon fils avait fait des cauchemars, j’ai dit « non pourquoi ? ». J’ai trouvé ça fort bizarre!

Suite à ça, après 4 jours, nous sommes partie en vacances. (Juin 2018)

Mon fils était constipé, c’était la première fois. Le petit avait peur de faire ses selles, j’ai dû le rassurer et lui tenir la main. Ça m’a beaucoup interpellé ce jour-là. Depuis il n ‘avait plus était constipé.

Le 3 août nous sommes invités comme tous les week-end chez ses parents. Il est 20h00, nous passons à table, le grand père engloutit son assiette en 5 min chrono. Je trouve ça bizarre! Il décide de  prendre le petit ,nous laisse à table en train de manger. Il nous disait « je montre les vaches au petit ».

Après 15 minutes, je demande de vérifier le petit, il me répond (le monstre) ils sont là et ils regardent les vaches.

20h30, il faut aller chercher le petit je lui dis, car il doit prendre sa tétée. Il me dit qu’ils ne sont pas là. « Ben va les chercher ! »,  je réponds.

Ils commencent à m’insulter avec sa mère, me bloque la sortie, me menace tous deux de m’envoler l’enfant et me faire enfermer en psychiatrie car je suis une folle! Je suis séquestrée dans la cuisine, insultée et menacée. Le grand père arrive avec mon fils ,le petit en pleurs, on veut pas me rendre l’enfant. Le grand-père me bloque dans la cuisine, impossible de sortir de cette maison. J’essaie d’appeler avec mon téléphone, impossible. J’étais dans tous  mes états, je criais « au secours ». Personne.

J’arrive à sortir de la cuisine, essaye de reprendre mon fils, la grand-mère court dans le jardin avec le petit dans les bras, j’arrive à prendre mon fils, le père vient me le reprendre, il rentre dans la cuisine, je le suis, j’essaye de prendre mon fils, il me coince tous les 3 dans l’évier, m’écrasent et me font mal.

Ils m’insultent, ils ne me rendent pas le petit,  j’arrive à sortir, je cherche du secours chez un voisin qui m’a dit « j’appelle pas la police! ». J’étais en crise et en panique, ils me rendent l’enfant et mon téléphone, impossible d’appeler les secours j’arrive pas à voir mon display. Ils me ramène chez moi .

La séparation définitive. Je porte plainte. Ces gens portent plainte aussi  pour coups et blessures.

Il reste au bungalow. Je prends un  avocat, je veux qu’il part. Arrangement amiable pour la garde du petit. Avec fierté, ce monstre annonce devant les avocats qu’il a acheté une maison, forcément derrière mon dos.

Je reste seule avec mon fils au bungalow. Il payé 3 mois de loyer, après c’est fini. Un loyer de 800 € mensuel.

Forcément, je suis expulsée (2019). Fin du mois d’octobre, un mercredi après-midi où il avait la garde du petit, au retour le petit était complètement inerte, bizarre absent, incompréhensible !

Je demande qu’est-ce que le petit a? Il me répond « je ne sais pas ». La seul réaction du petit quand il l’embrasse, c’est qu’il le chasse avec sa main. Mon fils était complètement absent, je ne comprenais pas ce qu’il avait. J’essaye de l’appeler ( il était sous choc post-traumatique ).

Je ne comprends pas. Je change son linge et là c’est le choc. Je n’arrivais pas à croire ce que je voyais, impossible pour moi! Il avait un anus tellement dilaté, que j’ai pu percevoir son rectum.

Je ne comprends pas sous le choc. Je ne vois pas de sang, de déchirures, incompréhensible je suis tétanisée !

Depuis ce jours j’ai le sentiment de culpabilité, je n’ai pas porté secours sur le moment ) mon fils , je suis coupable et c’est de ma faute si mon fils n’est pas protégé depuis ce jour.

La nuit, le petit fait des cauchemars et pleure de douleur.  Le lendemain, j’ai le coup de téléphone du monstre qui me demande si le petit avait fait des cauchemars ? Je réponds oui.

Je lui demande « qu’as-tu  fait avec le petit hier? ». Il me répond « qu’ils ont joué au jardin toute l’après-midi. (Hébergé chez ses parents). Le lendemain, le petit va à la crèche, je demande à la puéricultrice  d’observer le comportement pendant sa journée. Tout était normal. 

Le 5 décembre un mercredi, retour du petit de chez le monstre. Constatation des mêmes symptômes que le 31 octobre. Cette fois avec des bleus à l’intérieur des cuisses  et l’anus dilaté sans déchirures ni saignements. Je pars en panique , je prends des photo et la vidéo pour me calmer et rationaliser! J’étais complètement perdue ! De  nouveau, j’étais tétanisée et dans une totale incompréhension. Je n’ai pas pu dormir. Le lendemain, j’en parle à un médecin généraliste chez qui j’exerce un travail. Démunie complètement en pleurs, je lui fais mes confidences, et me conseille d’aller trouver mon médecin traitant pour me conseiller. 

Mon médecin confirme que les photos étaient très inquiétantes et me demande de me rendre à la citadelle pour prendre un rendez-vous avec un pédiatre, mais également me rendre à la cellule de violence d’abus sexuels sur mineur. 

Là , je m’en suis voulue de ne pas avoir réagi dans l’immédiat pour me rendre aux urgences. Ainsi, ils aurait pu constater par eux même les fait avérés. 

J’obtiens au plus vite un rendez-vous chez le pédiatre le 10 décembre. Effectivement, le petit ne présente plus les bleus à l’intérieur des cuisses et l’anus dilaté après l’analyse corporelle du pédiatre sur le petit. Par contre, elle a bien constaté les photo et vidéos que j’ai prises. Les bleus à l’intérieur des cuisses et l’anus dilaté. Le pédiatre m’a dit que mon fils présente physiquement les signes d’un abus sexuel,  via les photos que j’ai prises. Elle notifie tout ce qu’elle a dit et téléphone au 5ème étage au docteur expert en abus sexuel. Elle me demande d’abord de porter plainte, sinon, elle ne pouvait pas entamer le procédure. Après la plainte, il fallait que je lui téléphone.  Le pédiatre me dit: si vous ne portez pas plainte vous êtes complice. Le lendemain je porte plainte, je fais mon audition à un inspecteur de la police. 2 heures vu le disfonctionnement des ordinateurs, tout a été fait à la main.

Le magistrat a vu les photos, m’a demandé si je voulais rendre le petit au père ou pas! Évidemment que non! À partir de là , mes cauchemars commencent et ne termineront plus. Un système absurde et incompréhensible se met en route. 

J’ai des coups de fils de personne me demandant toujours l’histoire. Le service d’aide aux victimes du tribunal nous dit que s’il est alcoolique il se fera aider, s’il est pédophile, on lui donnera la pilule magique, et si il prend de la cocaïne il fera une cure de désintoxication!

Je suis parti avec les jambes coupées. Aucun soutien moral et aucune protection pour mon fils !

Coups de fils du psy de la police. Ils nous reçoivent avec le petit. Elle dit rien à signaler tout va bien. 

On reçoit le coups de fils du SAJ, qui me reçoit. Elle écrit mes dires, ferme le dossier en disant que c’était à mon avocat de s’en charger. Je lui dis : svp ils faut aider mon fils !

Elle me donne le numéro de « sos familles ». Je les contacte. (Jamais je n’aurais dû le faire)

Après une heure de communication téléphonique avec  la psy (qui était très méchante et agressive envers moi), elle me  propose un rendez-vous. L’audience était très proche, j’ai refusé d’y aller, en lui disant que  j’attendais ce que le juge va décider. La psy s’exclame en criant que le juge va me prendre pour une folle! Vu son arrogance, ça ne m’a pas plus d’aller au rendez-vous. 

Le coup de téléphone reçu de SOS familles c’était au mois de mars, tout comme le SAJ.

L’avocat du moment m’avait contacté. Cet avocat m’avait dit que de toute façon, on allait pas me croire et que je finirai par perdre mon fils et me retrouver à le voir dans un centre.)

On me prévient que le SAJ allait recouvrir  le dossier. 

Je connaissais pas du tout ce système à ce moment-là, et j’ai fait confiance en croyant qu’il aller aider mon enfant.

Le 25 février 2019, mon fils a droit d’aller voir le médecin légiste.  Il lui fait jouer à un  jeu de poupées russes pour vérifier si sa psychomotricité  fonctionne bien. Une mini expertise corporelle a été faite.

Bien sûr, aucune maltraitance n’a été détectée. Forcément après 2 mois e demi de l’abus, c’est normal que tout était normal. Le médecin légiste m’a expliqué très clairement, que les lésions internes et externe, en bas-âge sont très difficiles à détecter. De plus, les examens de coloscopie sont très douloureux. De plus, il me dit que de toute façon, de toutes petites lésions internes et externes ne sont pas détectables, parce qu’en 24 h et 48 heures le corps cicatrise très vite dû aux défenses immunitaires. Malheureusement, il n’y a donc jamais de preuve. De toute façon, même si j’avais été aux urgences, sur le moment,  ils ne touchent pas l’enfant. En effet, ils ne veulent pas créer un deuxième traumatisme, d’où la difficulté de prélever l’ADN .Le petit était en bonne et due forme.

(Ils ont vu que je ne maltraite pas mon enfant). Je pars en pleurs et désespérée, car je n’avais pas eu du concret pour le juge, des preuves suffisantes de l’abus sur mon enfant. 

Le 19 mars, au le tribunal, le juge décide de mettre en place par ma demande un encadrement sécurisé et mandate le SAJ, le SOS familles et le ASJ. Le cauchemar continue. 

Entre-temps, je fais plein de coups de téléphone dans l’espoir de trouver un pédopsychiatre qui accepte de voir mon fils en vain.

Parce que du au mandat pour l’intervention de SOS familles,  personne ne voulait se mettre contre eux. Par la suite j’ai compris que SOS familles sont dans les articles de loi.

Qui veut dire qu’il ont beaucoup de pouvoir et qu’ ils n’agissent pas de l’interêt de l’enfant, mais plutôt à la tête du client.

J’ai  quand même eu au téléphone, le docteur X du  CHU. Il était très interpellé par le comportement et les traces physiques que j’ai expliquées. 

Il m’a bien dit que le petit avait un  problème et qu’il fallait absolument qu’un pédopsychiatre le voit.

Il fallait demander au juge une autorisation. Celui-ci n’a malheureusement jamais voulu me le permettre.

Premier rendez-vous avec la psy de sos familles,  qui directement s’est présentée très arrogante et hostile, avec une attitude froide et un regard méchant. Elle a voulu d’emblée m’enlever l’enfant des bras pour le donner à une assistante, pour avoir un entretien et tester la fusion que j’ai avec mon fils. Bien évidement, j’allaitais toujours le petit car il avait 2 ans. Ils m’ont pris la tête car je l’allaite toujours. Il faut savoir que je leur dis que l’allaitement est conseillé et très bon pour les enfants de 0 à 3 ans, et qu’il n’y a pas de loi qui interdit l’allaitement : que ça soit par l’ONU, UNICEF,…

Le ton devenait virulent à mon égard.  Ma détermination et mon récit de vérité de ma triste situation ne leur plaisaient pas. Ayant eu des problèmes avec le monstre, j’avais apporté les certificats médicaux et rapports de mon psy, qui relatent les disputes avec ses parents, la plainte du 3 août et les violences conjugales que j’avais subies.

Cela ne leur a pas plus du tout , elle ont haussé le ton vu mes ressentis très vifs par ma situation et tout ce que j’avais vécu.

Dû à cet entretien qui n’était pas positif pour mon fils et pour moi, je suis partie très affectée par le manque d’empathie et de compassion, alors que la situation  était dangereuse pour mon fils. 

Suite à ça, ils ont vu mon enfant 4 fois en ma présence 1 heure et une 1 fois pour qu’il voit le monstre, en me cachant qu’il y avait aussi ses parents. Il y a eu aussi une 1 fois chez mon frère qui m’avait hébergé temporairement, d’où a l’expulsion du bungalow (à cause d’un loyer de 800 € que je ne pouvais payer). Le monstre s’en est lavé les mains. Il l’avait fait exprès. 

La psy de sos familles me donne rendez-vous, elle fait jouer le petit avec des jeux de cuisine, avec des  camions, etc. Ensuite,  elle fait des lignes au crayon et le petit devait faire la même choses. 2ème  rendez-vous puis  3ème rendez-vous, le petit dormait.

Le 4ème rendez-vous, la psy est venue chez moi pour voir les conditions de vie du petit. Le bilan est positif. Elle fait un jeux de psychomotricité avec des forme et des objets à reconnaître. C’est tout, voilà les examens que mon fils a subis. Rien n’a été fait pour approfondir la gravité de mes plaintes et tout ce que mon fils avait fait : les mimes, ses dires, les photos et les cauchemars. 

Grâce à mon insistance auprès de l’hôpital des bruyères, j’obtiens un rendez-vous avec un pédopsychiatre recommandé par le professeur X. La visite était pour un rendez-vous d’entretien.

Malheureusement, nous n’avons pas pu  poursuivre à cause de sos familles qui était mandaté. 

J’ai reçu un mail du pédopsychiatre me disant qu’il fallait l’autorisation du père, sinon il pouvait porter plainte sur le service. Forcément, ça n’a pas abouti à cause du frein de sos familles. 

Entre-temps je change d’avocat. Le 5 juillet, je reçois un courrier dans ma boite à la poste en attendant de trouver un appartement. C’est un jugement qui a été émis le 1 juillet 2019. Le jugement dit que le père a un droit d’hébergement les mercredis et un week-end sur deux. Là, ça a été l’explosion totale! Incompréhensible vu le jugement émis en mars pour la protection de mon enfant. 

Heureusement qu’entre-temps il y avait eu une transition avec mon nouvel avocat qui contacte l’ancien et qui lui répond qu’il ne savait rien.Menteur!

Le monstre avait pris un avocat vacant, danc il a payer 2,500 euro au huissier de justice. 

Ils l’as fait exprès de m’envoyer le huissier à l’ancienne adresse. 

Hors que j’avais signalé à tout le monde ou j’étais hébergée. 

C’était de la manipulation. 

Danc j’étais obligé de donner le petit si non j’aurais eu le retrait immédiat. 

J’étais en pleurs, j’étais désespérée. Alors j’ai fait appel et j’ai continué à apporter mon fils au monstre au ASJ (aides au justiciable).Entre-temps, mon avocats me montre le réfère sue le monstre et ses monstre de parents on fait. 

Toutes des dates mensongère pour mes plaintes les médecins pédiatres et médecins légistes. 

Tout était que des mensonge. 

On me faisait passer pour une folle, on racontait des mensonges sur moi et sur ma famille. Alors, j’ai fait un référé où j’ai mis toute la vérité avec les bonne dates, les certificats médicaux exacts et avérés, les plaintes et toute l’histoire depuis le début, par ordre chronologie. . Les vidéos et photos que j’avais prises  pourraient être prises pour pédopornographie selon le juge. J’étais complètement sous terre . Aucune assistance pour mon enfant, on le traite comme une poupée sans humanité. 

Menacé du retrait immédiat, j’étais obligée de donner mon fils à son monstre qui lui sert de père. 

Le petit, dès son retour le premier week-end, était en pleurs,  sous le choc. Ils présentent les mêmes symptômes, anus dilaté, les fesses gonflées avec une drôle de forme comme s’il avait des ailes autour de tout l’anus .J’essaye de calmer et de rassurer l’enfant. J’étais en panique, je vais aux urgences, vu l’enjeu, ça se trouve il l’avait fait exprès pour me faire passer pour une folle. Ainsi, ça serait retrait immédiat. Je téléphone à mon psy qui essaie de me calmer et me faire résonner. 

À chaque retour c’était les pleurs, les crises, il se tape la tête contre le mur, se mord, se griffe, les coups de pieds et les cauchemars. Mon fils me disait que papa avait mis un jouet dans les fesses et qu’il avait  mal (il fait la grimace), s’en suit des gémissements,  allusions sexuels sur son petit vélo et je le surprends à faire des va-et-vient. Je m’approche, il commence à crier « non! Ne viens pas maman ! »

Puis il me dit «  tu sais maman, d’abord avec papa il fait boubou et puis on fait dodo comme ça (il me montre avec ses yeux fermés et faisant le bruits avec sa bouche du son endormi  grrrchiii).

Suite à ça, de nouveaux cauchemars. J’envoie des mails à mon avocat de ce qui s’est passé avec mon fils , depuis l’hébergement chez le père.  Je vais au rendez-vous de mon avocats, je pleure et je tape les poings sur le bureau.  Désespérée et épuisée je lui demande de faire quelque chose !J’étais obligée de donner mon fils, à contre cœur et avec la haine !

Le 28 novembre, audience. A l’audience, j’ai subi par la partie adverse du racisme dû à mes origines italiennes,  des humiliations,  du dénigrement. On m’a même traité de folle.

Le procureur du roi m’a hurlé dessus en me traitant de menteuse, que le père n’avait jamais violé le petit, que le grand père non plus et personne en fait! Il disait qu’il n’avait rien eu de tout ça! Que je suis complètement à côté. Classement sans suite, pas de preuves suffisantes avec le médecin légiste. L’audience était assez virulente. Mon avocat m’a bien défendu, même elle a mentionné mes demandes, des expertise psychiatriques, que j’ai un suivi psychologique depuis mon accouchement. 

Un rapport psychologique qui dit que j’ai pas de maladie psychiatrique et psychologique. Je suis une maman aimante. Une thérapie de couple était même envisagée avec le monstre, ce qu’il a refusé. 

Sos familles disait que j’étais dangereuse pour le développement psychique pour mon fils, et que mon obsession, la fusion avec l’enfant et ma conviction sur le faite qu’il avait été violé aurait des répercussions sur le développement de l’enfant, à cause de mon insistance sur ce fait pas avéré. 

Ainsi, c’est pour cela qu’il faut donner la garde exclusive de l’enfant au père. 

Et sur le faite que je disent que je ferai de tout pour protéger mon enfant même d’aller meme en prison.

Et que mon fils et a moi.

On as peur que un passage à l’acte .

Vu que le père dit que madame pourrait étant italienne de partire en italie.

Je précise quand même que si que j’ai dit : bien sûr eux l’ont interprété à leurs convenances. 

Je précise que si je voulais partir j’aurais pu le faire en juillet vu que j’avais plus de tout dur la tête, et que j’ai dû payer 2800 de loyer émis par le juge de l’expulsion du bungalow, car le monstre n’as pas voulu payer. 

En plus, j’ai dû trouver en 3 mois un appartement social grâce à l’aide du cpas. Je ne pouvais rien loue car il faut gagner 3 fois le prix de son loyer. Impossible personne voulait me louer. 

J’ai payé, j’ai trouvé un toit, j’ai mis le petit ) l’école, j’ai dû remettre le petit au monstre. J’allais pas partir en Italie par plaisir!

J’ai dit à sos familles aux consultations que je ferais tout pour aider mon enfant, car je dis la vérité et que pour dire la vérité je suis prête aller même en prison. Je n’ai jamais dit que je voulais partir en Italie. En fait, le 2 juillet j’ai été trouver une agence, j’ai même les simulations, pour partir en vacances 1 semaine.  J’avais sonné au SAJ pour voir si je pouvais partir, on m’a dit que j’avais droit de partir durant la période de mon hébergement, et ce, sans savoir qu’il y’avais eu un jugement le 1 juillet. Quelle chance n’est-ce pas! Voilà le résultat de l’audience. Alors que le procureur du roi voulait m’enlever l’enfant, le juge ne disait rien. Sos familles voulait placer mon fils 1 an. Et le père voulait me l’enlever avec une violence extrême, avait dit mon avocat. 

Même l’avocat de mon fils ne voulait pas qu’on me l’enlève. Le petit a besoin de sa maman, la séparation aurait pour l’enfant des conséquences irréversibles pour son développement psychique et affectif. Des traumatismes irréparables pour son jeune âge. J’étais anéantie, en pleurs à l’audience, 

choquée de cette audience aussi violente,  je ne comprenais plus rien. Mon avocat ne m’a rien dit ,mais elle a vu mon choc. 

Le lendemain, 29 novembre, je reçois un mail de mon avocat me disant qu’on ne viendrait pas chercher le petit, ni dans une semaine, ni dans un mois, que je  ne devais pas être effrayée, car elle fera appel, puis ils feront appel, elle refera appel …. Bref, je devais garder le cap.

Donner mon fils à ce monstre en  respectant le jugement et mettre le petit a l’école tous les jours du non je serais pénalisé. 

Je n’ai pas pu supporter tout ça, j’étais sous le choc ! Je déteste toute cette situation de mal traitance, inhumaine, en il y a des personnes qui voient que  mon fils est en danger.

C’était le stress. Depuis plus d’1 an et demi, ce n’était plus possible pour moi de subir et voir mon fils comme une poupée et une marchandise. Mon enfant n’est pas un objet.  Je l’aime, j’ai voulu le protéger et j’ai échoué. Je me sentais trop coupable, faible et pas à la hauteur pour protéger mon fils de ce système qui ne fonctionne pas pour les victimes mais prime pour les prédateurs qui se font passer pour des victimes. 

Alors le 30 novembre j’ai pris la décision sur le coup, en tant que maman, pour ne plus que mon fils subisse ce système de partir en Sicile (en Italie) pour aller chercher de l’aide vu que je suis italienne. 

Je n’avais jamais songer à partir, car il faut beaucoup d’argent que je n’ai pas. De plus, ma famille est pauvre. Si j’avais voulu partir je pouvais le faire en juillet, j’avais plus rien et en plus il y avait eu un jugement, donc pourquoi j’aurais fait appel. Je pouvais partir. Ben non, c’était pas mon intention. 

Cependant, vu l’audience virulente et traumatisante, j’ai pris la décision de partir pour mettre en sécurité mon fils. Une fois arrivé en Sicile, j’ai cherché un hôtel et je suis restée une semaine. Personne ne savait où j’étais avec mon fils. Je ne l’ai dit à personne. J’ai pris mon téléphone et ma carte bancaire. 

Je voulais pas me cacher, je voulais juste une bonne justice pour mon enfant.

Ils m’ont retrouvé grâce à mon téléphone, je leur ai dit que j’allais revenir pour être tranquille. 

Je savais que le monstre aurait émis un mandat d’arrêt.

Donc le 2 décembre, je suis allée voir un avocat, j’ai demandé de l’aide et voir si ma nationalité italienne pouvait m’aider. C’est ainsi que tout c’était mis en place en Sicile. Par la suite, j’ai trouvé un appartement à louer  grâce aux indemnités de la mutuelle vu que j’étais en maladie. J’ai pu aider à mettre en sécurité mon enfant. Il ne  manquait de rien. D’ailleurs, par la suite, j’ai revu ma famille de là-bas et tous mes cousins. Bref, mon fils  était bien entourée. Tout le monde était apaisé,  le petit était toujours turbulent mais petit à petit, ses crises se sont calmées, ses tocs aussi, il a même arrêté de se frapper,etc. Tout le monde voyait, même l’avocat, les évolutions de mon fils. (Positif)

On allait partout, surtout à l’église. Mon fils adorait. On avait retrouvé un équilibre et une tranquillité qui nous manquait. Je précise que mon fils n’a jamais demandé après son père.  J’ai cherché du travail, en vain. Pour l’école, il fallait  juste attendre pour qu’on puisse trouver une place car il n’y avait pas de place avant  la nouvelle année. Alors, j’ai profité avec mon enfant de faire des visites un peu partout. Entre-temps, je voulais émettre une audience pour mon fils pour que mon fils soit vu par un pédopsychiatre et neuropsychiatre désigné par un juge italien. Vu mes difficultés financières, et le fait de mettre en sécurité mon fils, j’ai demandé à mon avocat de me mettre dans une structure pour femmes victimes de violences  avec mineur. 





Le 11 mars je suis hébergée avec mon fils dans la structure pour femmes victimes de violences avec mineur. Il y avait des spécialistes, des psychologues qui nous ont observé. Des rapport ont été faits et étaient même positifs. Pour mon fils, il fallait qu’il ait des visites plus approfondies car il présente quelques comportements chaotiques,  il se mord et reste parfois seul à jouer. Entre-temps, les photos et vidéos ont été analysées par des experts dont un neuropsychiatre et un pédopsychiatre. 

Le neuropsychiatre a téléphoné disant que ce qu’ils ont vu était bouleversant et très interpellant. 

On voit que le petit a une masturbation impulsive en essayant de chercher la douleur dans l’anus, cela dure de 7 min. Une vidéo où on voit mon fils mettre un objet dans l’anus avec grimace et force à l’enfoncer dans celui-ci. Il y a des photo d’anus dilaté sans déchirure, et des bleus à l’intérieur des cuisses. Le neuropsychiatre a dit que dans le doute, on ne donne pas cet enfant au père sans que je l’aie vu. Mon fils avait une armée derrière lui :  psy, psychiatre, neuropsychiatre, procureur, assistante sociale. Une série de personne qui voulaient protéger mon fils. Tout était en place, le juge avait accepté et mis mon enfant sous protection. Il y avait une audience fixée le 12 mai pour mon fils.

Forcément, le tribunal des mineurs de Palerme a du contacter l’ambassade belge pour retrouver le père pour  qu’il assiste à l’audience. Le 1 avril, on vient m’arrêter pour aller en prison.

Choquée, j’ai préparé mon fils en lui disant que j’allais travailler et que je serai revenue.  C’était la dernière fois que j’ai vu mon fils et la dernière fois que je l’ai pris dans mes bras. J’ai été en prison ça a été très humiliant. Ils m’ont traité comme une princesse et j’ai fait ému les agent pénitenciers avec cette histoire de maltraitance humaine. En Italie, le rapt parentale n’est pas punissable par la loi donc après 4 jours je suis sortie et pendant 4 jours j’ai fait que pleuré. En plus avec le covid, j’étais en quarantaine. Le tribunal de liège m’a condamné pour 5 ans, la peine maximale. A mon retour mon fils n’était pas là. J’ai compris que quelque chose n’allait pas ! Le juge avait décidé de mettre mon fils dans une structure pour mineurs,  et permettre à son père de le voir en vidéo conférence tous les jours. J’étais déchirée j’ai détesté tout le monde. Mon fils était sous le choc,  il a crié et m’a dit « maman je suis fâchée contre toi » Je voulais mourir tellement j’ai vu la souffrance de mon fils. C’est inhumain ce qu’ils ont fait . Le juge italien s’est fait influencer par le jugement, qu’ils ont émis le 29 janvier, tout en sachant que j’étais en Italie car ils m’avaient retrouvé grâce au téléphone.

J’ai fait 3 audiences en vidéo conférence le 13 avril. Le juge s’est laissé influencer par les écrits de sos familles qui disaient que je suis une maman dangereuse pour mon enfant,  que je suis paranoïaque,  qu’ils avaient effectué des observations psychologiques et que le petit n’as pas était violée. Il faut savoir que sos familles n’a jamais vu les photos et vidéos car je n’avais pas envie qu’ils me disent que c’était  de la pédopornographie. Ils ont fait  l’audience à liège et le juge a décidé que mon fils soit donné au père de manière exclusive. Alors le juge italien a décidé, que mon fils partirait dès que les vols seraient opérationnels, et serait rapatrier en Belgique chez son père. Moi, je serai rapatriée en prison en Belgique. Mon avocat italien avait fait appel en vain. Les juges se sont lavés les mains.

Conclusion mon fils a des chocs qui irréversibles. Il pense que sa maman l’a abandonné. 

Ça fait 6 mois que je ne vois plus mon enfant, et lui il est privé injustement de sa mère. 

Conclusion je me sens coupable de tout car je n’ai pas su protéger mon enfant et en plus c’est moi qui est la méchante dans l’histoire. Pour la juridiction belge, je suis une criminelle qui a commis un délit grave en enlèvement mon enfant.

On m’a mis à Lantin en prison en Belgique pour une durée de 15 jours. 

Interdiction de sortir de chez moi  sans autorisation avec le  bracelet électronique. Même pas pour descendre les poubelles. Ça  fait depuis le 27 juillet 2020  et on est octobre. J’ai fait appel en vain. 2 mois ferme.

Alors je dit à l’avocats c’est un arrêt européen ils doivent prendre conte du 1 avril d ‘arrestation en Italie. 

Vu que un tiers de t ans c’est 1ans et demis, et un tiers d’un ans 3 mois et demi .danc ils ne conte pas l’arrêt européen. 


À mon arrivée, les inspecteurs m’ont traité comme une princesse et les agents pénitenciers aussi. J’ai demandé au juge d’instruction pardon à tout le monde, et que je voulais pas me faire justice moi-même. Je voulais juste une protection  pour mon fils parce que ici on m’a pas écouté malgré les preuves. J’ai demandé un suivi psychologique par ma psy. Le juge m’a dit « un psychiatre ça vous va? »

J’ai dit pas de souci. J’ai fait mon expertise psychiatrique. On ne m’a pas fait passer des tests sur l’ordinateur. J’ai répondu aux questions posées. Elles concernaient ma vie, mon enfance, mon adolescence, ma familles, mon travail, l’histoire avec le monstre et le pourquoi j’étais parti. 

La psychiatrique a dit « voilà, je fais le rapport et je contacte l’avocat  mais je ne pense pas que vous devrez passer des test à l’ordi,  je vais voir avec votre avocat ». J’attends toujours mon rapport, ça fait 15 jours. Le juge ne veut pas me laisser voir mon fils, même dans une structure. J’ai un travail à durée indéterminée depuis 5 ans. Je souffre énormément qu’on m’ait arraché mon enfant  de cette façon. Or,  j’ai voulu protéger mon fils de son prédateur qui lui sert de père, qui est confiné avec une famille paternelle incestueuse, avec un grand-père qui a était violé par son frère aînée pendant des années, un père qui a était surement abusé par son grand-père récidiviste, pervers et narcissique. 

Un père qui a des problèmes d’alcoolémie, de cocaïne et qui est sociopathe et  qui a été condamné en 2011 pour coups et blessures par son ex compagne. Il a dû effectuer des heures de travaux d’intérêt général. La grand-mère,  consentante est aussi perverse que le mari et est soumise au bon vouloir de son  mari pervers,  antiféministe. Elle est mysogine. Dans tout ça, on m’inculpe d’être une mère trop protectrice, paranoïaque et aliénante. Mon fils  va grandir dans cette famille de monstres  en croyant que c’est ça l’amour familial. 

Si ils s’en sort bien, il s’auras homosexuels sexuels si il est pris à temps.

Sinon, il aura comme père ce monstre qui a des addictions d’alcool, de drogue. Ça sera un gamin de merde, sexuellement compulsif, bisexuel, en couple avec son collègue et problèmes de sociopathie. 

Je suis malheureuse pour mon enfant. Je prie beaucoup pour mon fils et pour tous les enfants mal traités en attendant qu’un miracle se produise. A savoir que je suis tombée sur ces gens qui avaient comme unique but de me traiter juste d’une donneuse d’enfants. 

Vu l’interdiction pénale dur une morte porteuse en Belgique. 

Quand mon fils sera grand, qu’il saura la vérité  et qu’il voudra sa maman, il sera anéanti et peut-être qu’il comprendra ce que sa maman a voulu faire. S’il me croit,  ils les détesteras et s’il est aliéné, il me détestera. Je ne sais si dans le code pénal il y a des lois sur  les gens manipulateurs . En tout cas moi j’ai toujours marché avec la vérité, et je continuerai à dire la vérité. Quand j’ étais à la structure en Italie avec le bracelet électronique, j’ai découvert sur le net que l’inceste intrafamiliale n’était pas punissable par le code pénal en Belgique. En plus, j’ai découvert la vidéo de Femmes de droit en Belgique de Miriam Baudoux. J’étais en état de choc! Là, j’avais tout compris que j’avais raison d’avoir dit à sos familles, qu’ils y avait un problème dans le système par intuition, vu tout les baton dans les roues que j’avais eu. 

J’ai contacté Femme de droit et Miriam Baudoux qui m’a donné des conseils juridiques. Je remercie cette dame car grâce à elle j’ai découvert la vérité. Malgré ses conseils, vu que j’étais en Italie, le juge italien s’en est lavé les mains.

Nous sommes le 11 octobre je reçois le mail des résultats du psychiatre. 

Ils ont décidé de me place en hôpital psychiatrique pour troubles mentaux ,paranoïa. De plus, je dois prendre un traitement pour pouvoir revoir mon enfant. 

Mais ça va pas !

Par peur récidive !

C’est facile de me faire passer pour une personne folle! Paranoïaque !

J’ai demandé une contre-expertise, un suivi psychologique et que mon fils soit vu par un expert pédopsychiatre pour voir si mes dires sont fondés. Les vidéos et photos doivent être vues par des experts, un neuropsychiatre et  un pédopsychiatre. Je suis dégoûtée de ce système fait pour les pédophiles et corrompus. Toutes les mères que je connais dans mon cas  sont toutes folles et paranoïaques.  Je n’ai rien fait ,à part dire la vérité comme toutes ces mères. Il faudrait une révolution….Mais personne nous l’autorise vraiment. On nous rend coupable, on nous bâillonne et nous donne des médicaments pour nous rendre comme des zombies.  Il faut un miracle pour que tout bouge. Ma familles va faire des témoignages de comment lui était avec moi et avec eux. Ces témoignages sont déjà faits, datés et signés chez l’inspecteur de police. Mon fils a un avocat et le spj et dessous. J’ai eu un courrier où le spj  mentionne que le père a mandaté un kinésiologue.  Je pense contacter l’avocats de mon fils, pour lui montrer les vidéos et photos.

Et quelle demande un expert pédopsychiatre pour confirmer les faits avéré.